Subsidence
En librairie le 21 septembre 2023
Camille Ammoun (texte et photographies)
Subsidence
Subsidence est une courte fiction dans laquelle un personnage imaginaire, la géologue Sarah Saporta, propose, lors d’une grande conférence réunissant les représentants des villes du monde, d’universaliser le concept de « subsidence » et, comme pour celui de « résilience », d’élargir son application à tous les types de systèmes (un organisme, une espèce, une économie, un écosystème, un système social, financier, urbain, naturel, informatique…).
Sarah Saporta : « La subsidence c’est le contraire de la résilience, c’est la débâcle de la durabilité. »
Extraits de l’ouvrage
L’auteur présente son livre
Revue de presse
Le magazine en ligne, L’Orient Le Jour, publie un long papier et interview de Camille Ammoun pour présenter son livre Subsidence. « Entre essai nimbé d’un zeste de romanesque, écriture littéraire et illustrations photographiques, ce livre au petit format est assez inclassable », à lire et découvrir ici.
Dans les Influences, Emmanuel Lemieux écrit dans sa recension: « Voilà un texte ultra-court, un article de 22 petites pages, mais qui promet de longues ruminations, et peut être même l’imposition d’un mot clé dans le débat public. » A retrouver ici.
Le magazine S!lence met en avant le livre de Camille Ammoun à travers une petite note de lecture. Le journaliste écrit: « À travers ce court essai “fictionnel”, il nous donne à voir et à ressentir l’état de Beyrouth après l’explosion du 4 août 2020, date à laquelle les habitant·es ont collectivement rejeté la résilience mythique qu’on leur prêtait. »
La revue en ligne En Attendant Nadeau publie sous la plume d’Eric Verdeil un long papier « La ville affaissée » sous l’angle d’une analyse littéraire du livre de Camille Ammoun. L’auteur écrit : »À travers cette proposition mise dans la bouche d’une géologue, Camille Ammoun explore le pouvoir d’une métaphore géologique, et plus précisément anthropocénique. Sa réflexion s’ancre dans son expérience libanaise, dont il nous suggère qu’elle pourrait « dire notre monde », en quelque sorte constituer un laboratoire des temps sombres et incertains qui sont déjà les nôtres et le deviendront fatalement plus encore. » A retrouver ici.
Présentation Presse
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